mardi 29 mars 2011


je voulais écrire sur ce livre depuis un bon moment déjà. il s'agit d'un roman de Carlos Ruiz Zafon. Je l'ai presque lu d'un seul trait. En effet, "Si vous avez le malheur de lire les trois premières pages de ce roman, vous n'avez plus aucune chance de lui échapper", il m'a emporté dans un tourbillon de sentiments; curiosité, enthousiasme, mélancolie, tendresse....
les mystères s'y emboîtent comme des poupées russes, les personnages se dévoilent petit à petit dans une Barcelone stigmatisée par la guerre civile et trébuchant vers les lumières...Daniel Sempre qui protège le livre "l'ombre du vent" retrouvé dans le cimetière des livres oubliés découvre et nous fait découvrir, avec émoi, les intrigues qui ont entouré ce livre et son auteur "Julian Carax".
Décidément, "Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie"

coup de gueule


ça fait presque 1 an et demi que je n'ai pas posté; non par paresse mais par manque d'enthousiasme.
je me disais à quoi bon m'étaler sur les pages du net??? et là, avec tout ce que mon pays traverse, tout ce chaos, ce brouhaha médiatique, mes problèmes sentimentaux (ça c'est une autre histoire) je me suis dit vaut mieux vider son cœur ici que dire à certaines personnes leurs quatre vérités.
tout est fade, tous les jours se ressemblent. Et même avec une "liberté" fraîchement acquise je n'arrive pas à sentir de la joie.

lundi 29 juin 2009

un adieu

j'étais son petit chou et maintenant je ne le suis plus. je croyais être son amie et je ne le suis plus.
suis je triste?????? emmmmm, oui.
Ai je compris pourquoi ??? non.
Devrais je chercher à comprendre??? non.
Je crois qu'en amitié, comme en amour, quand quelqu'un décide de partir il est inutile de le retenir; la décision est prise, point à la ligne.
il était mon meilleur ami, mon petit cœur et mon chou adoré et j'étais sa confidente et son âme sœur comme il disait. je pense que tout a une fin même une amitié. cela me brise le coeur de la voir faner ainsi.Mais, je suis entière, je suis incapable de réduire une amitié à une simple connaissance. C'est tout ou rien.Parce qu'une amitié a besoin d'entretien, de réciprocité et surtout de persévérence, c'est comme un mariage qui se maintient tous les jours. En me détâchant ainsi, je garde le meilleur d'une amitié que j'ai chéri. A dieu l'ami

mercredi 6 mai 2009

apparences apparences

je l'ai vue la première fois à la télé, je pense qu'à sa vue j'ai la même réaction que le public et le jury; que venait faire cette quadragénaire aux cheveux ébouriffés et aux habits démodés dans ce genre de show.

je ne dirais pas que sa voix, que je trouve jolie, ne m'a pas touchée mais je n'irais pas à qualifier son passage à la télé d'éternel. Il s'agit ,certes, d'un de ces moments ou on se dit "il ne faut juger sur le paraître" mais combien d'entre nous se disent cela. Combien d'entre nous ne regarde pas la tête d'une personne, la marque de son jean ou de ses baskets. Nous sommes une société d'IMAGE qu'on le veuille ou non, cette caractéristique ne date pas d'aujourd'hui et elle est propre à l'espèce humaine. Certains diront que c'est l'effet de la mondialisation, que cela nous a été apporté avec le chewing-gum et le coca cola. mais ceux là ont tout faux. le soin que nous portons à notre image; une image soignée qui nous unit avec notre entourage, qui nous identifie à la foule et qui comble notre vanité, en est la preuve concrète.
Évidemment, les apparences sont trompeuses diriez vous. Suzanne Boyle a été là pour nous le rappeler. Mais je serais injuste si je donnerais le mérite uniquement à cette brave femme car oublier les producteurs de l'émission. ces gens de l'industrie qui ont voulu créer le "vilain petit canard" qui se transforme en cygne.

hélas, cette brave dame, oups je rectifie, demoiselle qui n'a jamais été embrassée par un homme ( c'est elle qui tient à préciser) n'est qu'une étoile filante dans le monde du show biz. un monde qui a tellement usé l'industrie de la beauté qu'il essaye d'instaurer celle de la laideur (avec tous mes respects pour Miss Boyle).
Cependant, on continue à manipuler suzanne, le dernier commentaire que j'ai vu à la télé était qu'elle a touché à ses sourcils et qu'elle a osé porter un joli gilet rouge.

Mince alors, suzanne il fallait pas faire ça, tu avais promis de ne pas changer ton look. tu devais rester telle qu'on t'as vue la première fois, nous marginaux mortels, laide et mal soignée pour nous rappeler que l'être est plus important que le paraître.
Et oui, ça sonne cliché et usé mais si les apparences réussissent à elles seules à créer un monde elles ont réussi à créer celui de Boyle et toute sa gloire. Malheureusement pour elle, la Boylemania a été anéanti par cette maudite fièvre porcine. En attendant de voir ce que te prévoient les jours à venir, profites chère suzanne de cette gloire.

vendredi 24 avril 2009

l'alchimiste

un ami m'a parlé de ce livre en me disant que s'était l'unique livre qu'il a lu et qu'il n'avait pas besoin de lire d'autres livres.il m'a dit j'ai tout compris de la vie en le lisant.
ça m'a pris un an pour le trouver. Un vrai régal
une histoire très simple racontés par des termes très simples, je ne pensais pas qu'on pouvait exprimer des choses aussi profondes avec des mots si simples.
des idées qui nous traversent l'esprit au quotidien, maktoub,t légende personnelle, amour et foie. une réflexion sur la vie. Paolo Coelho nous emmène dans un voyage spirituel sans trop philosopher, tout est transparent. Lucidité frisée en fin de lecture....
j'ai un ami colombien , que je chéri beaucoup, qui m'a dit qu'en colombie, lui et ses amis rigolaient en disant que lire un coelho était très facile et qu'on pouvait jouer de la guitare, préparer une omelette et s'habiller tout en lisant un de ses livres. j'étais un peu contrariée j'ai beaucoup aimé son style et si des personnes qui n'ont jamais essayé de lire un livre ( ce que je trouve triste) se trouvent épris par ce livre c'est justement parce qu'il est écrit de manière simple sont s'enfoncer dans les figures de styles.
et bein simple ou pas simple, un bon livre est toujours un pur plaisir